Après une période de bourre intense mais passionnante, dont je vous raconterai plus longuement les détails dans quelques jours, on commence un tout petit peu à souffler chez Simple IT. La preuve, je peux même prendre 5 minutes pour écrire un billet et vous annoncer une parution du Site du Zéro – et plus précisément de votre serviteur – dans la presse.
Vous vous souvenez du journal Dynamique Entrepreneuriale dont je vous avais parlé et que je vous avais recommandé ? Le monde est petit, il se trouve que j’ai été interviewé par ce même journal il y a quelques temps et me voici dans le dernier numéro !
Le n°8 de Dynamique Entrepreneuriale (octobre / novembre) vient en effet de sortir. Vous pouvez le télécharger sur le site officiel ou plus directement sur ce lien. Il intéressera bon nombre d’entre vous car le sujet du dossier principal de ce numéro concerne la communication sur internet.
Vous retrouverez votre serviteur en page 17. Vous pouvez consulter l’extrait directement sur la section Presse du Site du Zéro.
Personnellement, je vous recommande chaudement la lecture de la section « Conseils de pros » (à partir de la page 10) qui détaille le parcours d’entrepreneurs qui ont réussi. Ils ont un certain nombre de conseils à donner que je trouve extrêmement pertinents et qui me parlent beaucoup. Je retiens notamment :
- Se fixer un objectif, car sans cela on ne sait pas si on avance et donc on n’avance pas.
- Etre tenace, c’est-à-dire ne pas lâcher le morceau même si on vous dit que « ça ne marchera pas », sans forcément être borné. La frontière entre les deux est mince et il faut pouvoir réagir à temps si on se rend compte que ça ne marche pas, mais il faut aussi savoir tenir bon dans la tempête. Un site web comme priceminister a par moment été à deux doigts de couler, et pourtant aujourd’hui il incarne une des réussites de l’entrepreneuriat web français.
- Ne jamais tout faire uniquement pour l’argent : car l’argent est le moteur d’une entreprise, il faut bien entendu chercher à en gagner. Mais l’entreprise est incomplète si elle n’a que cet objectif en tête. Elle doit avoir un rôle et communiquer des valeurs.
- Ne recruter que les meilleurs, c’est-à-dire aussi savoir recruter meilleur que soit. Comme le disait Pierre Bellon, Président du groupe Sodexo, avec une modestie qui est la sienne lors d’une soirée à laquelle j’ai participé avec Pierre : « Mon talent a été de savoir recruter des personnes plus talentueuses que moi. Ce sont elles qui ont fait de ma société ce qu’elle est devenue aujourd’hui« .
Félicitations pour cette soudaine notoriété !
Dans l’extrait il est écrit que vous allez développer des cours dans le domaine des mathématiques ? Ca pourra sans doute m’aider prochainement … Surtout s’ils sont aussi bien écrit que les autres tutos !
Bonne continuation et bon courage.
hey hey donc ce petit onglet « Bientôt… » sur le site du Zéro est donc réservé aux maths ^^ =P
Aux cours scolaires scientifiques plus globalement (donc physique,… en plus) si j’ai bien compris. Voir aussi http://www.siteduzero.com/forum-83-…
@Zêta => cette notoriété est tout sauf soudaine :p
Je ne parlais pas de la notoriété du sdz (qui est immense) mais de celle de son principal auteur !
Ce bout d’article est à l’image de ta réussite personnelle et de celle de ton entreprise. On souhaite que ça continue. ;)
Pour les 3 premier point, j’adhère totalement. Le quatrième aussi mais moi ca me pose un interrogation:
Je me pose la question sur le recrutement de meilleur que soi. C’est une concept auquel le recruteur a tout à y gagner à y adherer mais dans le cas du recruté?
Plus clairement, quand on recrute quelqu’un de plus fort que soi, comment sait-t-on que ce dernier va accepter le fait que ses décisions peuvent être réfutée à tout moment alors qu’il en connais plus sur le sujet que son supérieur (et donc la bonne décision)?
Comment comprendre cette relation qui est similaire au fait qu’un stagiaire soit plus fort que son maitre de stage par exemple?
Lucyberad,
Je crois que c’était le Directeur de Michelin qui disait :
« Le succès de l’entreprise, c’est que certaines décisions importantes, sont prises par des gens au bas de l’échelle qui s’y connaissent mieux que les dirigeants »
Un truc du genre. Enfin, bref. L’idée est que celui qui est recruté et qui est plus qualifié que le « recruteur », on doit lui laisser la responsabilité de prendre des décisions. Pourquoi? Il s’y connait mieux que toi. Bien entendu, dans certains cas, l’exérience est de mise. Sinon c’est une bonne attitude dans l’entrepreunariat de faire confiance à ses employés, surtout de leur laisser décider. Un employé « bien traité » travaille pour l’entreprise et son succès, et non pour son gain personnel.
Sinon, bravo à Matthieu, bonne continuation.
La vérité, c’est qu’il faut savoir déléguer, mais les décisions importantes, la stratégie, la vision de l’entreprise, ce sont des choses qui restent propres à son créateur (ou à son éventuel successeur).
Cela peut paraître surprenant, mais on ne peut pas exiger d’une seule et même personne qu’elle sache tout faire à la perfection. Je veux dire, je peux recruter un dieu du SQL, mais je peux pas être moi-même à la fois dieu du SQL, dieu du PHP, du JS, du CSS, de l’admin serveur, des processus, de la communication, du marketing, des ressources humaines, de la gestion de projet, du commercial, des finances et de la comptabilité ! Jusqu’à preuve du contraire les journées ne comportent que 24h (et des poussières oui je sais ;o). Si le type est meilleur que moi en SQL, tant mieux ! Il saura faire les meilleurs choix d’un point de vue du SQL et comme je sais qu’il est meilleur, je lui ferai confiance.
Par contre, il y a une chose qui me reste propre, c’est ce que je décide de faire de l’entreprise : les choix stratégiques et la vision. Si vous voulez faire cela, alors il faut faire comme moi : créer votre entreprise. ;o)
Article intéréssant.
Je croyais que Mathieu avait commencé ses cours à 14 ans…
C’est à 13?
13 ans, 14 ans, cela a peu d’importance je pense ^^
Ce que je retiens de l’article c’est de voir comment par une simple déduction (qui peut paraitre anodine) faite Matthieu, il a réussit à monter son projet et à aujourd’hui gérer son entreprise. C’est vraiment admirable.
J’aimerais bien connaitre le même succès avec mon générateur d’étiquette de confiture créer il y a maintenant un peu plus de 2 ans, qui maintenant s’est diversifier et ne fait plus uniquement les étiquettes de confiture. Mais malheureusement je crains que mon projet soi moins ambitieux que celui de Matthieu. :p
Mon nombre de visiteur par mois se compte plutôt en millier que en million. ^^
Bravo à toi et bonne continuation !
Hé bien quand je vois ce genre de parcours, je me dis que tout est possible !
J’aimerais arrivé à la même chose avec mon site !
Je n’y arriverais p-e que partiellement mais il faut toujours aller au bout de ses projets !
Belle image quel qui nous montre bien que l’on peut réussir :)
Merci encore pour ce dynamisme pas seulement entrepreneurial mais aussi d’un point de vue global d’envie de faire évoluer le monde qui nous entoure, dans ce cas-ci par la « démocratisation » de l’informatique sous la bannière du « siteduzero ». Car je crois que l’idée fondatrice, la base du projet d’un bon entrepreneur est l’envie d’offrir aux autres la concrétisation de son idée d' »amélioration » de notre environnement global et quotidien et surtout tangible. En cela un bon entrepreneur ne peut se contenter d’avoir uniquement l’argent comme fin en soi, ce n’est tout simplement pas possible.
Je ne suis vraiment pas du genre à tacler sur le physique, mais Mathieu ressemble un peu à Sheldon dans The Big Bang Theory :-° …
C’est vraiment une belle aventure.
Harassante certainement, mais visiblement gratifiante.
Vous souhaitez garder votre âme, bravo ! J’ai lu par le passé une communication (certes évidente, mais pourquoi passerait-elle inaperçue ?) qui disait ceci : « Lorsque votre entreprise grandit, n’oubliez pas votre métier premier ». En ce qui concerne le SdZ, et Simple IT d’une manière générale, vous ne quittez pas trop l’esprit des débuts, et ça me paraît légitimer cette citation.
On est fiers de vous. Bon courage, et bonne chance.