Comment prendre confiance en vous ?

« Croyez en vos rêves et ils se réaliseront peut-être. Croyez en vous et ils se réaliseront sûrement ». – Martin Luther King

Vous l’avez compris, l’objet de cet article est de vous donner quelques astuces pour… vous faire confiance !

Parce qu’il n’y a pas de secret, l’une des clés pour réussir un cours en ligne ou une formation diplômante, c’est d’avoir confiance en vos capacités. Si vous partez défaitiste, vous risquez fort de saper vos chances de réussir. 

Alors, quelles sont les clés pour porter un regard confiant et bienveillant sur vos capacités et ainsi booster vos chances de réussite ?

Éviter de vous dévaloriser

Vous vous dites que vous n’allez pas y arriver, que vous n’avez pas la méthode de travail, que vous avez arrêté les études il y a longtemps, que vous manquez d’intelligence… Stop ! Court-circuit, fausse route, on arrête la machine tout de suite.

Pour faire taire la petite voix négative dans votre tête, vous pouvez :

  • Vous arrêter un moment dès qu’elle parle, au début, pour la débusquer. Parfois, on se dévalorise tant qu’on ne s’en rend même plus compte. Dites-vous aussi que plus vous vous répéterez des choses négatives sur vous, plus vous y croirez ! Vous installerez des croyances limitantes qui vous empêcheront d’entreprendre, d’apprendre et d’évoluer dans la vie. 

 

  • Transformer son discours en quelque chose de positif. Exemple : non, le voisin ne me déteste pas parce qu’il n’a pas discuté plus de 5 minutes, il était juste pressé car il doit avoir un rendez-vous. D’ailleurs, tous les échanges que vous avez sont cordiaux et il vous a même proposé de prévoir pot avec les autres voisins !

 

  • Reconnaître les circonstances atténuantes qui ont fait que vous n’avez pas réussi dans telle chose. Il ne s’agit pas de vous trouver des excuses pour tout, mais de mêler objectivité et bienveillance. Tout échec n’est pas entièrement de votre faute… Et surtout, il n’est pas négatif si vous en tirez des apprentissages. 

 

  • Développer votre pensée positive pour qu’elle prenne le pas sur la négative. Vaste programme : vous pouvez pour cela remarquer les choses positives de manière systématique, les verbaliser (super ce plat que tu as cuisiné, c’est délicieux !), faire des compliments aux autres et remarquer aussi ce que vous faites de bien. Mais aussi, vous dire que tout est possible pour qui essaie, travaille et persévère.

Voici aussi quelques clés pour penser de manière plus positive et développer votre confiance en vous.

Vous concentrer sur vos atouts

La fausse bonne idée de la pensée positive serait de vous répéter des choses positives sur vous, alors qu’en fait vous n’y croyez pas au plus profond de vous-même.

Nous vous conseillons donc de vous nourrir du positif, pour être plus solide et avoir des ressources pour vous faire confiance :  

  • Aidez-vous de votre entourage : acceptez les petits compliments qu’on vous fait au lieu de dire que ce n’est pas vrai ou de faire la moue
  • Profitez de ces compliments pour reconnaître vos qualités et vos dons et vous les approprier. Essayez au maximum de les mettre à profit
  • Rappelez-vous les fois où vous avez réussi des choses, rédigez même une liste que vous pouvez dégainer lors des journées noires !
  • Et surtout, n’hésitez pas à vous réjouir de vos réussites : Rome ne s’est pas faite en un jour, et toute petite victoire ou tâche accomplie vous rapproche de votre but.

Vous parler à l’affirmative

Peut-être vous dites vous des choses motivantes régulièrement.

Pour conditionner votre cerveau à la bienveillance envers vous-même, utilisez des formules à l’affirmative.

C’est neurologique : notre cerveau fait des représentations mentales de ce à quoi nous pensons.

En vous disant “je ne suis pas nul”, votre cerveau vous représente en “nul”, malgré la négation. Si vous vous dites au contraire : “je suis doué en (…)”, votre cerveau imprimera cette image positive et finira par l’associer à vous.

Formulez donc des messages à l’affirmative, pleins d’espoirs, pour vous faire confiance ! 

Chacun a des talents mais ils sont différents pour tous. Si vous avez du mal à repérer les vôtres, demandez à vos amis ou à votre famille. Si par pudeur vous n’osez pas, un bilan de compétences peut vous aider à les définir. Vous risquez l’étonnement : si cela se trouve, vos forces ne sont pas celles que vous pensiez…

Et surtout, avant de dire que vous n’en êtes pas capable, essayez !

Bien des choses paraissent impossibles quand on ne les a pas tentées”. – André Gide

Et pour approfondir, voici cinq ted Talks incontournables pour booster votre confiance en vous :

Dominique Steiler – Développer la confiance en soi

Tony Robbins : pourquoi faisons-nous ce que nous faisons ?

Amy Cuddy : en quoi votre langage corporel peut changer qui vous êtes

Matt Cutts : essayer quelque-chose de nouveau pendant 30 jours

Meaghan Ramsay : pourquoi penser que vous êtes laid est mauvais pour vous

16 Comment
    1. Merci Jérémy, ravie que ça vous plaise !
      Très juste, mais je pense que cela fait un peu partie du cours « Apprendre à apprendre » qui sort très très bientôt ! ;)
      Nora

    1. Bonjour Mathis
      De rien, avec plaisir.
      Nous disons en général 18 mais nous avons aussi des étudiants entre 16 et 18 ans.
      Si vous êtes plus jeune, la porte n’est pas fermée (on essaie de voir au cas par cas) mais on voudra vous avoir au téléphone ou sur Skype pour vérifier non pas votre niveau de connaissances mais de maturité :)
      Et ne vous inquiétez pas, pour la plupart des parcours vous pouvez partir de zéro, sauf si c’est précisé sur la page parcours, dans la rubrique des pré-requis.

  1. Sympa comme article, même si on est hyper connecté par moment on se sent seul et alors on baisse les bras. On se rabaisse devant l’avancée des autres, devant la tâche à accomplir,… Ce n’est pas la pilule miracle mais cela permet de mieux nous comprendre dans notre apprentissage.

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