L’audace et la persévérance comme ligne de conduite

Des questions sur votre formation et sur la vie, après-OpenClassrooms ? Nos anciens étudiants vous racontent leur expérience ; de leurs premiers pas jusqu’à leur insertion pro. 

Dans cet article, on donne la parole à Karim Djaroudi qui, après avoir vécu mille vies et exploré de nombreux jobs, a décidé de se former pour vivre de sa passion : le développement web. Il a choisi OpenClassrooms pour apprendre ce métier. Retour sur un parcours détonnant.

Un parcours atypique : de la plomberie au développement web, en passant par la sécurité

Oui. J’avais déjà testé un grand nombre de métiers en parallèle, avant d’arriver au développement web. 

En classe de troisième, on m’a orienté vers la plomberie (à l’époque, il y avait un fort besoin de plombiers en France). Je me souviens y avoir été presque placé de force ! J’ai donc fait un CAP de plomberie, puis travaillé pendant quelques années. Mais j’ai vite réalisé que je détestais ça.

Je suis donc parti travailler dans l’univers du câble : j’installais la fibre optique pour Numéricable. À cette époque, j’avais beaucoup de temps libre que je dédiais à ma passion pour le code (conception de petits sites web pour mon neveu et ma nièce, lancement de side projects, etc.). D’ailleurs, j’ai découvert cet univers grâce à OpenClassrooms, dont je suivais déjà les contenus  depuis l’époque du Site du Zéro, lancé en 1999 par Mathieu Nebra, le cofondateur d’OpenClassrooms !

Puis, j’ai travaillé dans la sécurité, avec plusieurs rôles, allant d’agent à chargé de mission, en passant par chef d’équipe. Mais ça s’est terminé avec la pandémie de COVID-19 : on a mis fin à mon contrat et j’ai été licencié.

À ce moment-là, je me souviens avoir été assez perdu. Ce sont ma femme et mes proches qui m’ont recommandé de me lancer dans le développement. Ils me disaient : « tu as toujours adoré ça, c’est le moment ! » Je suis donc allé voir le site d’OpenClassrooms où j’ai repéré une formation continue pour devenir développeur Web, soutenue par Pôle emploi. C’était parfait pour moi !

Études et paternité, un double défi relevé avec succès 

Avant de commencer ma nouvelle formation, j’ai eu une surprise de taille : j’ai appris que j’allais être papa ! Autant, vous dire que j’étais un peu inquiet. En fait, je me suis questionné quant à ma capacité à apprendre un nouveau métier et à m’occuper d’un jeune enfant en même temps.

Mais mes doutes se sont très vite estompés ! Comme j’étais déjà initié au modèle OpenClassrooms et que je suivais des cours gratuits, j’avais déjà acquis certaines des compétences demandées. En fait, la formation est venue développer de nouvelles compétences pour moi tout en enrichissant celles que j’avais déjà grâce à des projets concrets et à l’évaluation de mon travail ! 

Ce qui m’a plu dans cette expérience, c’est le fort degré d’autonomie dont disposent les étudiants. Pouvoir gérer mes horaires de travail et atteindre mes objectifs sans contrainte tout en étant capable de m’occuper de mon fils, c’était inestimable. 

Et ce n’est pas tout : j’ai aussi beaucoup aimé l’aspect concret des projets. Je trouve que lorsqu’on travaille sur des objectifs tangibles, on a tendance à apprendre plus efficacement. En tout cas, ça a été le cas pour moi.

Et le meilleur pour la fin (évidemment) : le contenu, que j’ai également trouvé très enrichissant. Grâce à OpenClassrooms, j’ai pu appréhender toutes les bases requises pour le métier que j’occupe aujourd’hui. Il n’y a pas une seule chose que j’aie apprise en formation qui ne m’aie pas servi !

Le mentor : une aide précieuse 

J’ai eu un mentor qui m’a accompagné tout au long de la formation. Il a été d’une grande aide : on faisait des points d’étape hebdomadaires pour discuter de mon avancement et des blocages que je rencontrais. 

J’aimerais rajouter que mon mentor avait une entière confiance en moi (presque plus que moi-même !) et ça a été très encourageant.  Encore plus pendant mes phases de doute ou celles de difficultés logistiques, liées à la gestion double de ma formation et de mon jeune fils. 

À la recherche du premier emploi

Les quatre premiers mois après ma formation, j’ai été suivi par une coach. Elle m’a beaucoup aidé à me challenger. Que ce soit vis-à-vis de mon projet professionnel ou de ma recherche. Au cours de nos sessions, elle m’a aidé sur un tas de sujets dont le fameux profil LinkedIn. 

Comme j’avais déjà une bonne expérience sur le marché du travail, j’avais une idée de comment créer un CV, passer des entretiens, postuler pour des jobs, etc. J’ai ainsi pu me consacrer pleinement à ma recherche de CDI et signé mon contrat en janvier 2023 en tant que Développeur Full-Stack chez un éditeur de logiciels, GTP-Conseil. 

Les conseils de Karim pour tous les étudiants soucieux d’améliorer leur employabilité 

Pour moi, l’essentiel, c’est de ne surtout pas lâcher, de rester à l’affût dans sa phase de recherche. Parfois, c’est dur, on a envie d’abandonner, on se dit qu’on n’est pas fait pour ça. Mon conseil :  persévérez ! Parce que s’il y a une chose que je retiens de mon expérience pro, c’est qu’il y a toujours une place pour vous ailleurs. Il ne faut jamais baisser les bras ! 

Et pour surmonter les phases de doute, je recommande de cultiver la pensée positive et d’essayer de toujours s’améliorer. L’une des choses qui m’a beaucoup aidé, c’est d’observer les autres et de m’en inspirer… Inspirez-vous de leurs réussites, et ne lâchez rien !

Réussir son intégration dans une nouvelle équipe 

On a tendance à penser que les compétences priment sur tout le reste, je ne suis pas d’accord. À mes yeux, l’élément qui prime quand on arrive dans un nouveau poste ou une nouvelle équipe, c’est ce que j’appelle la « happy-titude », soit le fait d’être le plus positif possible, de dégager de bonnes ondes au quotidien ! Je pense que la meilleure intégration, c’est l’intégration par la positivité.

Et pour finir, je dirais qu’il ne faut pas se reposer sur ses acquis. Dans mon métier de développeur par exemple, on doit se renouveler en permanence. Je considère qu’il faut rester curieux et vouloir apprendre de nouvelles choses. Et surtout ne pas avoir peur des nouvelles technologies !

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